"Courage, vaillants soldats, boutons ces saxons hors de leurs positions ! Que le premier qui parle de se rendre soit abattu sur place! Que celui qui cède d'un pouce soit banni à jamais de la garde.
Courage mes braves, n'êtes vous pas les vainqueurs de Valmy, de Marengo, d'Austerlitz, de Borodino? Ecrasons ces saxons une bonne fois pour toute!"
Ah que la générale bien huppée avait du verbe en ces jours là! Elle était partout, souriante sous la mitraille, respirant avec joie les odeurs de poudre.
Et lagarde poussa un grand cri:
"hourra ! hourra!
